Étiquette : littérature israelienne

Stupeur, Zeruya Shalev.

Traduit de l’hébreu par Laurence Sendrowicz.@editions_gallimard « N’est-ce pas ridicule de chercher toute sa vie ce qui est précisément le plus difficile à obtenir, précisément chez la personne qui a le plus de mal à te le donner ?«  Peu de temps avant de mourir, le père d’Atara lui parle avec une douceur inhabituelle et l’appelle […]

Comment aimer sa fille, Hila Blum.

Traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti.Editions Robert Laffont « Je ne comprends pas de quoi ma fille est faite. Je l’aime d’un amour insupportable, peut-être impossible, et je déteste ce garçon exactement de la même manière.«  Aux Pays-Bas, dans le secret de l’obscurité et de la rue, une femme observe une famille par la fenêtre de […]

Tunnels, Rutu Modan.

Traduit de l’hébreu par Rosie Pinhas Delpuech.Actes Sud Des archéologues israéliens aux intérêts aussi multiples qu’improbables sont en quête de l’Arche d’alliance. Ils creusent en douce sous le mur séparant Israël de la Cisjordanie … et tombent sur des Palestiniens qui creusent tout aussi illégalement en sens inverse pour d’autres raisons.Leurs intérêts sont-ils si divergents […]

Histoire d’une vie, Aharon Appelfeld.

Traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti.Editions Points « Cette séparation entre les vivants et les morts est une séparation fictive. Le passage est plus simple que nous ne l’imaginons. C’est juste un changement de lieu, et le gravissement d’un degré. » Dans ce texte autobiographique, l’auteur revient sur son passé de jeune enfant juif en Roumanie au […]

Mon père et ma mère, Aharon Appelfeld.

Traduit de l’hébreu par Valerie Zenatti. @valerie_zenattiEditions Points « Contrairement au souvenir précis, la réminiscence puise dans le réservoir de visions qui se sont déposées en vous. Vous puisez lentement, comme lorsqu’on remonte un seau du fond d’un puits sombre.«  Été 1938, Europe de l’Est. Le narrateur raconte le « dernier été » au bord de la rivière.Un été […]

Poèmes d’Israël pour les enfants

Un #lundipoésie enfantin de nouveau avec le recueil « Chaîne d’or, les plus beaux poèmes d’Israël pour enfants, de Bialik à Gefen ». La traduction est de Ziva Avran et Arlette Pierrot et c’est paru chez @editionsmemo.Je poursuis ma découverte des recueils de poésie disponibles au rayon jeunesse de ma médiathèque et j’en profite pour découvrir une littérature que je […]

Voyou, Itamar Orlev.

Traduit de l’hébreu par Laurence Sendrowicz. « Les pères et les fils peuvent essayer de se cramponner les uns aux autres, ils resteront à jamais des étrangers, quant à cette reconnaissance que les fils s’échinent à obtenir de leurs pères, elle restera toujours hors de portée.«  Alors qu’il vient d’être quitté par sa femme et son […]

Une proie trop facile, Yishaï Sarid.

Traduit de l’hébreu par Laurence Sendrowicz. « Je suis sorti du cabinet avant la tombée de la nuit et j’ai marché jusqu’au bout de la rue Bograshow. Des colonies de mouettes se reposaient sur une mer plate de fin d’été. Il était encore possible d’entrer dans l’eau, de grimper sur les digues et de rester à […]