Rosa Candida, Audur Ava Ólafsdóttir.
« Je sens que je suis en train de la perdre, comme j’ai perdu maman au téléphone, comme le sable de la grève qui vous file entre les doigts. Et c’est moi qui reste sur le carreau, à lécher mes doigts salés. »
Un roman d’apprentissage tendre, songeur et très juste où un jeune homme devient peu à peu père.
J’ai trouvé les descriptions très fines et saisissant avec subtilité la naissance d’un sentiment nouveau. Je suis ravie d’avoir trouvé ce livre sur un trottoir : c’était une lecture parfaite pour sourire quand le ciel est gris!
J’ai moi aussi été sensible à sa douceur tendre.