200 pages maximum
Suite à sa lecture de « The Sentence » de Louise Erdrich @lesvoyagesheures nous propose de partager quelques livres de 200 pages maximum qui nous ont marqué.
Je suis partie en chasse dans mes étagères avec un œil intransigeant sur le nombre de pages et j’en suis revenue avec ce butin :
• Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce, Corinne Morel Darleux. (106 p.)
• Le monde de Rocannon, Ursula K Le Guin. Traduit par Jean Bailhache. (190 p.)
• La cartographie et autres nouvelles, Tove Jansson. Traduit par Nolwen Borrel. (162 p.)
• La panne, Friedrich Dürrenmatt. Traduit par Armel Guerne. (124 p.)
• La vieille maison, Oscar Peer. Traduit par Walter Rosselli. (187 p.)
• La chute, Albert Camus. (152 p.)
• Les villes invisibles, Italo Calvino. Traduit par Jean Thibaudeau. (198 p.)
• Le puit, Iván Repila. Traduit par Margit Nguyen Béraud. (121 p.)
J’en ai plein d’autres en tête mais c’est déjà une bonne pioche !