Catégorie : Lectures

Plus grands que le monde, Meredith Hall.

Traduit de l’anglais par Laurence Richard.Editions Philippe Rey. « Il n’y a jamais de retour en arrière. Ce que nous disons et ce que nous faisons demeure, toujours. Le prix à payer pour l’amour et l’attachement est la perte, et elle nous accompagne chaque jour. Mais ici aussi, chaque jour, s’offrent les grandes délivrances qu’ils procurent.« 

Blackouts, Justin Torres.

Traduit de l’anglais par Laëtitia Devaux.Editions de l’Olivier. « Je lisais. Ils n’avaient pas encore fermé la bibliothèque, et à une époque il y avait même une librairie dans cette ville fantôme, crois-le ou non, alors j’allais de l’une à l’autre en quête de recueils – uniquement des nouvelles et de la poésie. Je n’avais plus […]

Le collectionneur de serpents, Jurica Pavicic.

Traduit du croate par Olivier Lannuzel.Edtions Agullo. « Dès que quelqu’un ici valait quelque chose, il fichait le camp, dit-il. Celui qui était intelligent, il allait à l’école en ville. Celui qui espérait mieux, il partait pour l’Amérique ou l’Australie. Celui qui avait un peu d’ambition, aujourd’hui il est ailleurs. Du coup, il est resté qui […]

Résister à la culpabilisation, Mona Chollet.

Editions La Découverte. « Quand aucun de nos comportements ne trouve grâce à nos yeux, on peut en conclure que nous ne sommes pas très sûres de notre légitimité à exister. Nous sommes convaincues de présenter un défaut, une déficience fondamentale, irrémédiable. Cette culpabilité s’insinue dans tous les recoins de notre psyché.« 

Les marins ne savent pas nager, T.1, Dominique Scali.

Editions Folio. « Est « issois » ce qui fait bomber le torse. Le pêcheur qui rapporte plus de quintaux de morues que les autres ou le commandant qui va toujours au bout de ses menaces est considéré comme un « vrai Issois ». Un orateur éloquent se fait complimenter: « V’la qui parle issois. » Quand le temps est clément, avec […]