Stupeur, Zeruya Shalev.
Traduit de l’hébreu par Laurence Sendrowicz.
@editions_gallimard
« N’est-ce pas ridicule de chercher toute sa vie ce qui est précisément le plus difficile à obtenir, précisément chez la personne qui a le plus de mal à te le donner ?«
Peu de temps avant de mourir, le père d’Atara lui parle avec une douceur inhabituelle et l’appelle Rachel. Découvrant de cette façon que son père a eu une première épouse, elle part à sa recherche pour en apprendre plus sur lui et sur le prénom qu’il lui a donné.
Entre ces deux femmes, un monde. Et cet homme comme un pont, fragile et improbable.
Je découvre cette autrice grâce à mon père qui m’a offert ce livre pour Noël. Je suis admirative de son écriture, de sa façon de continuer à fouiller pour aller plus loin dans les strates des émotions, des souvenirs et des relations. J’ai, pour ces mêmes raisons, trouvé cette lecture assez harassante.
Un autre titre à me conseiller pour poursuivre ma découverte ?