Traduit du portugais par Colette Lambrichs.@editionsducanoe « Mais il arrivait parfois qu’Ana Bote vint nous habiller. Elle nous frottait vigoureusement les cheveux car nous ne pouvions rester avec la tête mouillée. Elle nous nettoyait les doigts de pieds un à un et nous expliquait que nous ne pouvions demeurer les pieds froids. Après – Ô merveille […]
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