ADN, Yrsa Sigurdardottir.
Traduit de l’islandais par Catherine Mercy.
« Elle le classait parmi ces gens qui s’enduisent d’huile le matin pour que personne ne réussisse à leur coller de responsabilité dans la journée.«
Une femme meurt dans des conditions atroces sous les yeux de sa petite fille, un jeune homme passionné de radio amateur se met à capter d’étranges messages chiffrés et la police est sur les dents pour mettre la main sur le tueur.
Un polar que j’ai trouvé très fort dans sa capacité à faire monter le stress du lecteur (je sursautais à chaque bruit la nuit en le lisant…😅) mais assez tiré par les cheveux quand même. Je n’ai donc pas été totalement convaincue mais j’ai bien été embarquée.
Merci @mademoisellemaeve pour ce conseil de lecture !