Happy place, Emily Henry.

Happy Place

@berkleypub

« He’s become my best friend the way the others did. Bit by bit, sand passing through an hour glass so slowly, it’s impossible to pin down the moment it happens. When suddenly, more of my heart belongs to him than doesn’t, and I know I’ll never get a single grain back.« 

Ensemble depuis 10 ans Harriet et Wyn se sont séparés il y a 6 mois … mais ils ont omis de le dire à leurs meilleurs amis par peur d’ébranler leur univers. Ils se retrouvent ainsi obligés de faire chambre commune pour les dernières vacances de leur groupe avant la vente de la maison du Maine qui a servi de havre à leurs meilleurs étés.

Bien, bien, bien.
Je ne nie pas que j’ai lu avec plaisir cette niaiserie, le cerveau fondu par la chaleur estivale et le cœur à la recherche de sucre rapide.
Là où « Funny story » m’avait séduite par sa simplicité et son habileté, j’ai trouvé ce roman peu crédible et assez lourdingue. J’ai trouvé Wyn bien mou du genou, les choix d’Harriet assez douteux (voire totalement risibles) et leur relation – décrite comme viscérale – totalement superficielle.
J’ai finalement trouvé (un peu) plus d’épaisseur et d’intérêt dans la description des amitiés et de leurs transformations entre l’adolescence et l’âge adulte.