Tempête sur Kinlochleven, Peter May.

Traduit de l’anglais par Ariane Bataille.
Editions du Rouergue.

« La boisson ne procurait pas réellement d’évasion, il le savait. Il avait appris depuis longtemps que quelle que soit la quantité d’alcool absorbée, ce qui poussait à se réfugier dans la boisson était toujours là le lendemain matin quand on se réveillait avec une migraine atroce et la bouche tellement sèche qu’il fallait faire un effort pour décoller la langue du palais. Mais, comme aimait le répéter son vieux professeur d’histoire, la seule chose que nous enseigne l’Histoire c’est qu’on ne tire jamais aucune leçon de l’Histoire.«