Wayward Pines : Révélation, Blake Crouch.
Editions Gallmeister. Traduit de l’anglais (américain) par Patrick Imbert.
« Un cri s’éleva dans la forêt, loin au-dessus.
Ethan s’immobilisa.
Il entendait le battement de son cœur, rien d’autre.
Ce cri… était humain, forcément, mais seule une personne terrorisée l’aurait poussé. Terrorisée ou folle de douleur. On aurait dit une hyène, ou une banshee. Une bande de coyotes affolés. Un bruit déchirant, aigu et vif, fragile, en un sens. Et terrifiant. En son for intérieur, Ethan eut la vague impression qu’il ne l’entendait pas pour la première fois. L’idée bourdonnait dans son esprit comme des câbles électriques souterrains.«
L’agent fédéral Ethan Burke se réveille au beau milieu de la charmante bourgade de Wayward Pines. Il ne sait plus vraiment ce qu’il faisait là (il enquêtait peut-être sur deux autres agents), n’a plus son téléphone ni ses papiers et trouve le sheriff et les habitants du coin aussi étranges que menaçants sans savoir exactement pourquoi. Il n’est pas au bout de ses peines …
Ah, Wayward Pines, ville coquette façon Truman Show, aussi flippante que lisse. Je n’ai pas vraiment apprécié ce bouquin qui reprend à mon goût, trop de références littéraires et cinématographiques pour être vraiment digeste.
