Blackwater, T.1 : La Crue, Michael Mc Dowell.
Blackwater, T.1 : La Crue, Michael Mc Dowell.
Traduit de l’anglais par Yoko Lacour et Hélène Charrier.
Editions Monsieur Toussaint Louverture
Printemps 1919, la petite ville de Perdido est submergée par une crue virulente depuis plusieurs jours. Rassemblée sur une zone non inondée, la population s’adapte tant bien que mal tandis que les plus riches tentent de maîtriser leurs pertes. Un jour alors qu’Oscar, fils bien-aimé de la puissante famille Caskey, patrouille dans la ville sur son canot, il porte secours à une jeune femme séduisante inexplicablement « apparue » dans un hôtel déserté. Cette troublante étrangère semble entretenir un rapport particulier avec les flots de la Blackwater…
Bon, je vais être rapide. J’ai lu ce livre à la recherche d’un agréable divertissement et parce que ce personnage féminin mystérieux porte le prénom de ma fille.
J’ai trouvé ça lourdingue et ennuyeux, sans humour ni finesse.
Je ne poursuivrai donc pas plus avant ma lecture de cette série que beaucoup ont pourtant apprécié. (Si vous avez aimé, dites-moi ce qui vous a plu que je comprenne ce qui m’a échappé !)