C’est moi qui éteins les lumières, Zoyâ Pirzâd.
« Ce soir là, dans mon lit, je dis à Artush : ‘Toute sa vie, elle a dû se venger.’ Comme il ne me répondait pas, je me tournai vers lui. Il dormait déjà. J’éteignis la lampe de chevet.«
Un livre tendre et intense qui observe comment la vie de Clarisse – mère, fille et épouse attentionnée – va se troubler un instant avec l’arrivée de nouveaux voisins.
Un très beau portrait de femme chez les Arméniens d’Iran : beaucoup de simplicité dans ce récit d’un quotidien soudainement réinterrogé. .
Merci beaucoup @nicolascartelet pour ce conseil de lecture!