De l’amour des chiens, Rodrigo Blanco Calderón.

Traduit de l’espagnol (Venezuela) par Robert Amutio.
Editions Gallimard.

Un vieux général solitaire meurt à Caracas. Au décès de sa femme, il s’était brouillé avec ses deux enfants et vivait dans les souvenirs d’un passé où le Venezuela était encore un pays plein de potentiel.
A l’ouverture de son testament, son ex-gendre – un critique de cinéma – découvre qu’il va hériter d’un très bel appartement à la seule condition qu’il réussisse à installer une fondation pour la sauvegarde des chiens errants dans l’ancienne maison du général. En effet, leur nombre augmente de jour en jour car de nombreux habitants quittent le pays pour des horizons meilleurs en abandonnant leurs animaux de compagnie.
La mission ne sera pas facile car de nombreuses personnes aimeraient mettre la main sur l’appartement ou sur la maison …

Bon, c’est un flop pour moi. Ça commençait bien, j’étais embarquée dans une atmosphère très « film noir », les liens entre le gendre et le général m’intriguaient. Peu à peu, les considérations sur les femmes et les histoires en rhizomes ont dilué mon intérêt et m’ont même agacée. J’ai terminé ma lecture en étant franchement dépitée.