L’atelier, Sarah Hall.
Traduit de l’anglais par Eric Chédaille.
Editions Bourgois
Burncoat, un gigantesque hangar transformé en atelier, abrite la vie intense d’Edith – une artiste aux œuvres novatrices et polémiques.
Ses premières années en liberté sur la lande anglaise, son adolescence aux côtés d’une mère solide mais transformée après un AVC dévastateur, l’apprentissage artistique et le choc d’une relation toxique, la rencontre avec un artiste japonais et la découverte de nouvelles techniques, la rencontre amoureuse avec Halit un restaurateur étranger … toute son histoire va se condenser et s’intensifier avec la survenue d’une pandémie qui fait se confiner ensemble les deux amants.
Mais quel bouquin ! Une fièvre et une écriture que je ne suis pas prête à oublier ! J’ai été emportée comme dans un tourbillon par les émotions, les évocations très forte de la passion amoureuse et ce personnage féminin si singulier, rugueux et résolu. J’ai parfois pensé à Harriet dans « Un monde flamboyant ».
Je n’avais jamais rien lu de cet auteure alors merci @toutcequejaimais : ta chronique m’a donné une envie folle de découvrir ce roman et j’en ai fait l’emplette dès que j’ai pu 😊 c’est une vraie rencontre.