Le colibri, Sandro Veronesi.
Traduit de l’italien par Dominique Vittoz.
Editions Grasset
« Le fait est qu’on comprend sans mal que le mouvement obéit à un motif alors qu’il est plus difficile de saisir qu’il en va de même pour l’immobilité.«
Ophtalmologue quadragénaire et bon père de famille italien, Marco Carrera a tout d’un homme sans histoire. Et pourtant … Il est un jour contacté par le psy de sa femme et cette conversation surprenante sert de point de départ à l’exploration d’une vie à la richesse secrète. Amours, convictions, peines, rencontres déterminantes, amitiés, sens de la vie : chaque homme enferme un monde de choix et de rêves.
Merci @toutcequejaimais ! Aussitôt ta chronique parue, j’ai réservé le livre à la médiathèque et je l’ai lu dans ma chaise-longue en un week-end 😊
C’était une lecture délicate et très agréable, parfois un peu bavarde mais elle m’a globalement charmée et beaucoup touchée.