Les enfants de cœur, Heather O’Neill.
Traduit de l’anglais par Dominique Fortier.
« Chaque jour, une personne est témoin de six miracles en moyenne. Ce n’est pas que nous ne croyons pas aux miracles – nous ne croyons simplement pas que les miracles sont des miracles. Il y a tant de miracles partout autour de nous.«
A Montréal de 1914 à la fin des années 30, deux orphelins s’étant rencontrés et liés chez les bonnes sœurs grandissent et traversent tant bien que mal la Grande Dépression.
Leur imaginaire et leurs dons (le piano pour lui, le mime pour elle) leur permettront de continuer à avancer là où le désespoir s’empare de ceux à qui l’inventivité fait défaut. Entre mondes religieux et interlope, Canada et États-Unis, pauvreté et amour extrêmes, les deux personnages naviguent dans un texte social et magique à la fois.
La lecture de ce roman a été agréable grâce à la singularité des personnages et à leur capacité de voir du beau dans la misère.
Je l’ai lu en dernier alors qu’il faisait partie des premiers romans reçu dans le cadre du jury du meilleur roman Points car le sujet ne m’attirait pas.
Au final, j’ai passé un bon moment mais sans que ce livre ne m’accroche véritablement.
Lu dans le cadre du #prixmeilleurromanpoints @editionspoints
il a eu un énorme succès à sa sortie dans la sphère anglophone . Le Caribou l’a lu et aimé aussi. Je te sens cependant moins enthousiaste que les autres.