Les équinoxes, Cyril Pedrosa.
Durant quatre saisons, une série de personnages en proie à des hésitations et interrogations philosophiques se croisent, s’effleurent et – parfois – se rencontrent de façon déterminantes.
Ce sont 300 pages profondes, intimes et fonctionnant en quatre univers graphiques complémentaires.
J’ai beaucoup aimé l’ampleur du récit placé sous l’égide d’un jeune homme venu de la Préhistoire; j’ai beaucoup moins aimé les pages de textes purs que j’ai trouvé un peu lourdingues et gratuits.
Mon avis est donc mitigé… je pense me lancer dans Portugal qui a l’air d’être clé dans l’œuvre de Pedrosa pour continuer à le découvrir.