Les indignes, Agustina Bazterrica.

Traduit de l’espagnol (Argentine) par Margot Nguyen Béraud.
Editions Flammarion.

La maison de la Sororité Sacrée rassemble des femmes rescapées d’un désastre qui a ravagé la Terre, ses sols et ses ressources. Au sein de cette secte dirigée par la perverse Sœur Supérieure, des femmes éduquées à être des rivales tentent de survivre pour quitter leur statut d’Indignes ou de servantes et devenir des Illuminées ou même des Elues … sans trop savoir si cela leur sera bénéfique ou pas.
En secret et au péril de sa vie, une jeune femme Indigne raconte son histoire dans des carnets : de la routine ultra-violente de la maison à l’arrivée d’une Errante particulière.

J’ai trouvé ce livre déplaisant dans sa façon de mêler à une trame narrative assez quelconque (pour une dystopie) des scènes très violentes. Cela m’a semblé gratuit et sans intérêt.
J’ai senti comment l’écriture cherchait à mobiliser des images frappantes et parfois poétiques pour créer un univers mais le sortilège n’a pas du tout fonctionné pour moi.