Étiquette : littérature argentine

Poésie en flamme

Parfois, il faut que le #lundipoésie transporte les mots toujours pleins de flamme d’Alejandra Pizarnik. Je pioche alors dans le recueil « Œuvres » publié @ypsilonediteur et traduit par Jacques Ancet, comme on pioche la carte d’un oracle, comme on lit des signes dans les nuages ou les herbes folles. Ce matin, le recueil s’est ouvert à la page 139 sur […]

Duo poétique : Henri Michaux et Roberto Juarroz

Un #lundipoésie philosophique avec le retour du #duopoétique en compagnie d’Henri Michaux et de Roberto Juarroz. Deux poètes incisifs et insistants qui se questionnent sans relâche. Leurs fulgurances sont saisissantes (et parfois agaçantes je vous l’accorde). « C’est à un combat sans corps qu’il faut te préparer, tel que tu puisses faire front en tout cas, combat abstrait qui, au […]

Les poèmes de Roberto Juarroz

Un #lundipoésie argentin avec les textes incroyables de Roberto Juarroz. Ce poète est pour moi une sorte d’oracle, pas forcément le plus joyeux qui soit mais dont les mots prennent de l’épaisseur et du sens à chaque relecture. Expert des bibliothèques, traducteur d’Antonin Artaud, exilé sous Perón, directeur de revue poétique, tous ses recueils de poésie portent […]

Luz ou le temps sauvage, Elsa Osorio.

// EN VACANCES// Traduit de l’espagnol par François Gaudry. « C’est ce que m’a dit la dame de la glace -et Luz ouvre à peine les yeux, mais lui serre fort la main-, que maman n’est pas ma maman. Et elle ferme les yeux.«  Devenue mère, une jeune femme argentine se met en quête de son […]

La poésie d’Alejandra Pizarnik

Un #lundipoésie à la découverte des textes d’Alejandra Pizarnik, auteure Argentine torturée à la vie bien courte. Une poésie en prose qui semble lutter pour dire ce qui traverse l’esprit et le cœur avec clarté et honnêteté. J’ai sélectionné deux extraits du poème écrit en 1964 et qui donne son nom au recueil : Extraction de la […]

Ce que nous avons perdu dans le feu, Mariana Enriquez.

« Marina courut vers le pont sans regarder derrière elle, et se boucha les oreilles de ses mains pleines de sang pour ne plus entendre le bruit des tambours. » Douze nouvelles étranges, inquiétantes et puissantes. J’ai été emportée par l’écriture de Mariana Enriquez, sa capacité à maintenir un équilibre éprouvant entre réalisme violent et fantastique glauque. […]