L’homme qui m’aimait tout bas, Eric Fottorino.

« Je suis né quand j’ai pu un jour le ceinturer de mes bras et l’appeler Papa sans qu’il ne fasse rien d’autre que me passer sa main dans les cheveux. »

Une élégie au père décédé: un père qui en adoptant l’auteur lui a re-donné la vie, un ancrage et un amour silencieux et entier. Entre souvenirs, figures paternelles dans des extraits de précédents livres et déclarations d’amour filial : un livre touchant sur le moment mais qui ne m’a finalement pas conquise.
Merci @escaleenborddepage pour m’avoir donné cette idée de lecture!