Libration, Becky Chambers.

Libration

Traduit de l’anglais par Marie Surgers.
Editions Le Livre de poche

« Lovelace occupait un corps depuis vingt-huit minutes et ça n’allait pas mieux qu’à la seconde où elle s’était éveillée dedans.« 

Dans ce deuxième tome (qui fait suite à « L’espace d’un an »), nous suivons deux histoires en écho l’une de l’autre. Nous découvrons comment Lovelace, Intelligence Artificielle du vaisseau, s’adapte (ou pas) à sa nouvelle vie incarnée dans un corps humain avec l’appui de Poivre – la mécano sympathique et rebelle du Voyageur – dont le récit raconte également l’enfance éprouvante et déterminante.

Et hop, un dernier pour la route (en attendant le prochain 😉) car j’ai lu ce roman dans le cadre du bookclub #cemoiscionlit que nous animions en juin avec @palir_au_soleil et @ledevorateur !
Si j’ai moins été transportée que par précédent tome et globalement un peu moins convaincue par le ton assez classique de ce texte, j’ai appréciée de suivre le destin de ces deux personnages féminins qui doivent s’adapter pour survivre et qui tentent de réconcilier dignité, indépendance et relations.
J’ai trouvé l’attitude de certains personnages un peu trop angélique cette fois-ci mais je reste séduite par la force narrative de l’auteure.