Par le vent pleuré, Ron Rash.
Traduit de l’anglais par Isabelle Reinharez.
« C’est là que les romans se trompent si souvent, se trompent sciemment, a-t-elle remarqué lorsqu’elle a rouvert les yeux. On fait certains choix et l’on s’éteint sans avoir jamais pu vérifier s’ils étaient bons ou mauvais. »
C’est le Sumer of love mais il n’a pas encore atteint la bourgade des Appalaches où vivent deux frères adolescents. Une jeune fille débarque alors de Floride, envoyée au vert par sa famille pour quitter ses mauvaises fréquentations.
Elle va offrir au plus jeune des deux frères un nouveau monde à explorer… Entre désir, rivalité, alcool, musique, drogues et nature cet été aura pourtant des conséquences dévastatrices que l’on ne découvrira que plusieurs décennies plus tard.
Une lecture en demi-teinte ce coup-ci : les scènes au bord de la rivière m’ont convaincue mais l’histoire m’a semblée un peu faiblarde et manichéenne… bien moins réussie que Une terre d’ombre en tout cas, je trouve!
Merci à toi @manonlitaussi de m’avoir fait découvrir cet auteur et offert ce bouquin!