Speed, Klaus Mann.
Traduit de l’allemand par Dominique Miermont.
@editionsdenoel
Quinze nouvelles autour de personnages dépassés par ce qui leur arrive, comme égarés dans le monde. Fragilisés, sympathiques ou agaçants, ils ont rarement les bonnes réactions et sont toujours un peu à contretemps.
J’ai eu du mal à rentrer dans cet univers où la solitude, la mélancolie ou la tristesse sont omniprésentes. Même quand le cadre est solaire, les personnages souffrent de leur inadaptation au monde qui les entoure.
Je crois qu’entre la pluie et ma fatigue c’était trop de gris pour moi.
J’entame la découverte de cet auteur grâce @on_ne_lit_pas_a_table_ avec le toujours stimulant bookclub #cemoiscionlit proposé par @palir_au_soleil ! Une première rencontre un peu malaisée donc mais je n’ai pas dit mon dernier mot 😊