Étiquette : Littérature américaine

Conte d’automne, Julia Glass.

Traduit de l’anglais par Sabine Porte.Editions Gallmeister.  « – Pourquoi faut-il toujours que tu sois ironique quand la situation est grave ?Parce que l’ironie, ai-je dit, c’est comme les chaises droites. C’est fiable. Ça ne s’affaisse pas. C’est le siège dont on se relève le plus facilement. »  Percy a 70 ans, il est veuf depuis 30 ans […]

Xenogenesis, tome 1 : L’aube, Octavia E. Butler.

Traduit de l’anglais par Jessica Shapiro.Editions Au Diable Vauvert. « Vous êtes un mélange rare d’horreur et de beauté. Vous nous avez véritablement capturés et nous ne pouvons nous échapper. Mais vous êtes plus que la simple composition et le fonctionnement de votre corps. Vous êtes votre personnalité, votre culture. Celles-ci nous intéressent aussi. C’est pourquoi […]

Folie, fureur et ferveur : Oeuvres poétiques, Anne Sexton.

Traduit de l’anglais par Sabine Huynh.Editions Des Femmes Antoinette Fouque. « Et pourtant je suis amoureuse des mots.Ils sont pareils à des colombes qui tombent du plafond.Ou six oranges sacrées posées sur mes cuisses.Ils sont les arbres, les jambes de l’été.et le soleil, son visage passionné.Et pourtant ils me font souvent défaut.« 

Pleurer au supermarché, Michelle Zauner.

Traduit de l’anglais par Laura Bourgeois.Editions Bourgois. « Je me souviens très nettement de toutes ces choses, car c’est ainsi que ma mère témoignait de son amour. Pas avec de pieux mensonges ni mots d’encouragements et d’affection. Mais par une observation fine de ce qui apportait de la joie aux autres. Elle conservait cette information soigneusement […]

Plus grands que le monde, Meredith Hall.

Traduit de l’anglais par Laurence Richard.Editions Philippe Rey. « Il n’y a jamais de retour en arrière. Ce que nous disons et ce que nous faisons demeure, toujours. Le prix à payer pour l’amour et l’attachement est la perte, et elle nous accompagne chaque jour. Mais ici aussi, chaque jour, s’offrent les grandes délivrances qu’ils procurent.« 

Blackouts, Justin Torres.

Traduit de l’anglais par Laëtitia Devaux.Editions de l’Olivier. « Je lisais. Ils n’avaient pas encore fermé la bibliothèque, et à une époque il y avait même une librairie dans cette ville fantôme, crois-le ou non, alors j’allais de l’une à l’autre en quête de recueils – uniquement des nouvelles et de la poésie. Je n’avais plus […]