Étiquette : littérature coréenne

Les boites de ma femme, Eun Hee-Kyung.

Traduit du coréen par Lee Hye-Young et Pierrick Micottis.Editions Zulma. « J’ai acheté un chapeau blanc à pois bleus, style relax, bordé d’un ruban blanc. Il donne l’impression qu’en le secouant, les petits pois pourraient tomber comme de fines gouttes d’eau sur les mains. » Cinq nouvelles qui racontent des histoires de femmes et d’hommes mariés qui […]

La vie rêvée des plantes, Lee Seung-U.

Traduit du coréen par Choi Mikyung et Jean-Noël Juttet.Editions Zulma. « Le taxi s’est arrêté sur une hauteur d’où l’on avait une vue plongeante sur la mer. Une mer écailleuse, qui étincelait, métallique, mue d’une impulsion perpétuelle. Je croyais buter sur une montagne, mais c’est la mer que je trouvais. Je ne m’y attendais aucunement et […]

Celui qui revient, Han Kang.

Traduit du coréen par Eun Jin Jeong et Jacques Batilliot.Editions Points « Certains souvenirs ne cicatrisent jamais. Au lieu de s’estomper avec le temps, ils persistent et c’est plutôt le reste qui s’effrite.«  Sept tableaux pour une hécatombe : par strates successives l’autrice fait le portrait du massacre de Gwangju, sa ville natale. Au printemps 1980, […]

Leçons de grec, Han Kang.

Traduit du coréen par Jacques Batilliot et Jeong Eun-JinEditions Points « Un calme encore plus imperturbable et intense remplissait désormais la jarre obscure qu’était son corps.«  Une jeune femme solitaire plonge dans le mutisme. Cela lui est déjà arrivé adolescente.Un quadragénaire partagé entre deux cultures perd progressivement la vue comme cela lui avait été annoncé.Elle apprend […]

La végétarienne, Han Kang.

Traduit du coréen par Jeong Eun-Jin et Jacques Batilliot.Editions Le Serpent à plumes. « Une fois, une seule fois, j’aimerais pousser un grand cri. J’aimerais sortir en courant dans l’obscurité, de l’autre côté de la fenêtre. Cela pourrait-il évacuer cette masse ? Est-ce que c’est possible? Personne ne peut m’aider. Personne ne peut me sauver. Personne […]

Impossibles adieux, Han Kang.

Traduit du coréen par Pierre Bisiou.Editions Grasset « Chaque flocon qui se pose sur l’asphalte semble hésiter un instant. Oui.. bien sûr… Comme le lamento de quelqu’un qui aurait I’habitude de terminer ainsi ses conversations, comme une musique qui approche de son terme et du silence, comme l’extrémité des doigts qui se baissent au lieu de […]