Un roi sans divertissement, Jean Giono.
» Et il y eut, au fond du jardin, l’énorme éclaboussement d’or qui éclaira la nuit pendant une seconde. C’était la tête de Langlois qui prenait, enfin, les dimensions de l’univers. «
C’est dimanche c’est #livredéterminant !
Un roi sans divertissement, Jean Giono.
Un roman polyphonique fascinant et violent, anesthésiant comme la solitude en hiver.