The cost of living, Deborah Levy.

« When our father does the things he needs to do in the world, we understand it is his due. If our mother does the things she needs to do in the world, we feel she has abandoned us. It is a miracle she survives our mixed messages, written in society’s most poisoned ink. It is enough to drive her mad. »

Encore un coup au plexus et au cerveau avec ce deuxième chapitre du récit mi-autobiographique mi-réflexif de Deborah Levy qui poursuit, après « Things I don’t want to know », son travail sur le fait d’être une femme, qui plus est une mère, et d’écrire aujourd’hui.
C’est toujours futé, plein de malice et d’esprit, avec un humour caustique qui rehausse la profondeur des sentiments et des pensées.
N’attendez pas plus pour le lire !

Vous pouvez également déguster ce texte brillant en français grâce au travail de @celine2405 ça a dû être un vrai bonheur à traduire ! « Le coût de la vie » et « Ce que je ne veux pas savoir » sont publiés @ed_sous_sol