Sucre noir, Miguel Bonnefoy.
« Parfois, une brise passait, chargée d’un parfum d’amandes sèches, et l’on sentait craquer tout le corps du navire, depuis la hune jusqu’à la cale, comme un vieux trésor qu’on enterre.«
Je n’ai vraiment pas apprécié ce livre que j’ai trouvé à la fois très convenu dans le propos et dans l’écriture. Je me suis ennuyée en le lisant et me suis presque pressée de le finir…
Je n’en retiendrai finalement que les quatre premières pages : la description singulière est saisissante d’un bateau naufragé dans les arbres.