Noces, L’Été, Albert Camus.
« La tête retentissante des cymbales du soleil et des couleurs, quelle fraîche bienvenue que celle de la salle pleine d’ombre, du grand verre de menthe verte et glacée ! Au-dehors, c’est la mer et la route ardente de poussière. »
es textes courts, habités et brûlants pour se souvenir de l’été disparu, de ses plaisirs simples et pourtant métaphysiques.
Merci @pauline_boet pour ce beau conseil!