Property, a collection, Lionel Shriver.
// EN VACANCES//
» But that was the nature of these stories. They were about what could have happened, or should have happened, but didn’t. They were nearly not stories at all.«
Autour de la notion de propriété, qu’elle soit littérale ou figurée, l’auteure raconte sans fard les travers humains. Le ton est à la fois humoristique, moqueur et parfois même assez cynique.
Une maison qui rejette sa nouvelle propriétaire, un fils trentenaire qui ne veut pas quitter celle de ses parents, un vol de courrier qui lance une histoire d’amour mais aussi comment le partage d’un souvenir intime peut devenir mortel ou une forte amitié l’origine d’une guerre personnelle … ces nouvelles sont saisissantes, très justes et parfois assez stressantes. 😅
Merci @un_bouquet_de_livres pour ce conseil de lecture qui m’aura permis de me remettre aux nouvelles, un format que j’aime beaucoup mais que j’ai tendance à oublier.
Vous pouvez également découvrir ce livre en français sous le titre « Propriétés privées » chez @editionsbelfond dans une traduction par Laurence Richard.
C’est le 2e avis très positif que je lis à son sujet en quelques jours. Mais j’avoue que je suis méfiante… Si « Il faut qu’on parle de Kevin » restera sans doute l’une des lectures qui m’a le plus marquée, j’ai par la suite suite été très déçue par Double faute et Big Brother..