When women were birds, Terry Tempest Williams.
« Once upon a time, when women were birds, there was the simple understanding that to sing at dawn and to sing at dusk was to heal the world through joy. The birds still remember what we have forgotten, that the world is meant to be celebrated. »
Dans la poursuite de « Refuge » dont je vous parlais il y a peu et qui continue de m’habiter, j’ai donc lu ce texte personnel, sorte de méditation sur la transmission entre femmes, le pouvoir des histoires et la force des mots.
La mère de Terry Tempest Williams lui transmet ses journaux personnels en lui demandant de ne les ouvrir qu’à sa mort. Après son décès, l’auteure découvre que ceux-ci sont tous vierges.
Face aux pages blanches dont elle a hérité elle entame une réflexion et une introspection sur des thématiques qui lui sont essentielles : la liberté personnelle, l’intime et le secret, l’indépendance d’esprit. Le tout est à la fois un nouvel éloge de sa mère et un tâtonnement narratif pour continuer d’affirmer sa propre voix.
Ce texte m’a beaucoup touchée, m’a beaucoup fait songer. Il m’a aussi agacée car je ne partage pas du tout certaines des opinions de l’auteure mais sa lecture contribue de façon importante à une réflexion personnelle.
A huge thank you @literaryartjournal for your creative work and for sharing this poem that prompted me to read this great book!