Les sept morts d’Evelyn Hardcastle, Stuart Turton.
Traduit de l’anglais par Fabrice Pointeau.
@editions1018
« Je sens mes souvenirs tout juste hors de portée. Ils ont du poids et une forme, comme des meubles recouverts d’un drap dans une pièce obscure. J’ai simplement égaré la lumière qui me permet de les voir.«
Un homme se réveille au beau milieu d’une forêt, il ne sait pas qui il est, il ne sait pas où il est, il a juste au bout des lèvres un prénom de femme : Anna.
Il va se retrouver plongé dans les préparatifs du bal de Lord et Lady Hardcastle, au beau milieu de convives aux relations complexes et tendues, avec pour mission d’empêcher un meurtre qui doit avoir lieu à 23h. S’il échoue, il est condamné à revivre la même journée encore et encore…
Bon, c’est un roman qui combine à la fois un côté casse-tête (franchement je m’y suis perdue moultes fois et cela m’a parfois agacée) avec un côté intense qui fait que j’ai tourné les pages avec ardeur ! Je n’en dis pas plus pour que vous puissiez profiter de cette confusion et de cette fascination à votre tour.
Merci @charlotte.parlotte pour cette idée de lecture : c’était parfait pour un début de vacances de Toussaint sous la pluie…