Déracinée, Naomi Bovik.
Traduit de l’anglais par Benjamin Kuntzer.
J’ai lu Editions
« Je courais comme une folle dans la forêt de la magie, repoussant les ronces sans me soucier des griffures ou de la terre, sans même regarder où j’allais.«
Pour survivre aux maléfices mortifères du Bois, la population locale se place sous la protection du Dragon, un puissant sorcier qui leur « prend » tous les dix ans une des jeunes filles les plus douées du village pour en faire son élève. Lorsque Agnieszka – une jeune fille farouche – est finalement choisie et rejoint la tour du Dragon, elle découvre un univers de luttes et de magie où son imagination et sa contribution vont s’avérer essentielles.
Ça avait bien débuté, une lecture douillette et qui m’emportait, parfaite pour lire au chaud au coin du feu pendant les vacances de Toussaint pluvieuses et venteuses… mais j’ai vite déchanté tellement les situations et les personnages m’ont semblé caricaturaux (et quelle rage devant cette simili-histoire amoureuse complètement nulle et inutile).
Pourtant, j’ai beaucoup aimé les descriptions de la végétation et des sortilèges du Bois ainsi que l’idée de relations dévoyées avec la nature…
ah zut alors !