Chocolat amer, Laura Esquivel.

Traduit de l’espagnol (Mexique) par Eduardo Jiménez et Jacques Rémy-Zéphir.
Editions Folio

« Ce que préférait Tita, c’était respirer le parfum de la farce qui repose. Les odeurs reproduisent des époques passées, des sons oubliés. Tita aimait renifler un grand coup et voyager avec cet arôme niché dans quelque recoin de sa mémoire. »

Début du XXème siècle dans un Mexique secoué par la révolution, Tita – une jeune fille dont la cuisine est le moyen d’expression favori – est amoureuse de Pedro. Malheureusement, comme elle est la dernière des enfants, elle doit rester célibataire pour prendre soin de sa mère lorsqu’elle vieillira. Laquelle mère, s’empresse de marier sa seconde fille au dit Pedro pour s’assurer que l’on suivra bien ses ordres.
En 12 chapitres et 12 recettes (avec ou sans chocolat) , tout vous sera raconté sur l’histoire de cette passion contrariée.

J’ai lu ce livre comme une sorte de télénovela pleine de sentiments et de rebondissements : à la fois tout à fait distrayante et un peu écœurante. Je n’ai pas totalement accroché et j’ai souvent pensé à Cœur cousu de Carole Martinez que j’avais énormément aimé.