How to paint a dead man, Sarah Hall.

Faber & Faber

You are comprised of a million tiny locks. There’s no master key to be found, encased in the plush velvet heart, no matter how desperately you ask someone to reach in and grope around. No matter how hard you try to find it.

Dans les années soixante en Italie, un vieux peintre renommé se remémore sa vie en peignant toujours le motif qui l’entête : des bouteilles. Une jeune fille ayant très brièvement bénéficié de ses cours devient aveugle et tente de se repérer dans un monde que sa mère lui décrit comme menaçant et habité par le mal.
Trente ans plus tard, en Angleterre, c’est un autre peintre – mains connu – qui marche et songe à ses limites, à la vieillesse et au déclin. Sa fille, totalement bouleversée par la mort de son frère jumeau, prépare le montage d’une exposition tout en essayant de se sentir vivante.

L’art, la vie et la mort : un trio parfait pour un roman sombre et palpitant. J’ai aimé retrouver l’écriture de Sarah Hall et sa capacité à créer des atmosphères baroques et troubles.