La maison des souvenirs et de l’oubli, Filip David.

« Les flammes avaient tout dévoré sauf, curieusement, ce paquet de feuilles. Le fameux adage selon lesquels les manuscrits ne brûlent pas me revint alors à l’esprit. Qui l’a énoncé, le diable en personne ou l’un de ses proches ?« 

Un roman admirable sur l’héritage pesant de l’Holocauste dans l’ex-Yougoslavie.
A travers différents formats de fiction (lettres, extraits de presse, journal intime…) et autour de quatre amis, une réflexion complexe sur la quête d’identité, la mémoire et l’oubli. C’est très dur et très poétique.