La nuit la plus longue, James Lee Burke.
Traduit de l’américain par Christophe Mercier.
« Il est 1 heure du matin, et j’entends le vent dans les chênes et les pacaniers. Les volets à lattes de notre maison sont crochetés, et vibrent légèrement contre les chambranles. Le seul signe d’un dérèglement du temps est le tremblement d’un éclair dans les nuages, ou une soudaine rafale de pluie qui décide notre toit de tôle d’aiguilles de pin.«
Un roman noir crépusculaire dans une Nouvelle Orléans dévastée par l’ouragan Katrina puis Rita. Une fois de plus, Dave Robicheaux tente désespérément de maintenir justice et équilibre moral pour résoudre une enquête. Autour de lui et de ses amis, la ville s’effondre, les pillards prolifèrent et le monde civilisé recule.
Un grand merci à toi @marionlovebooks de m’avoir permis de replonger dans l’écriture suffocante de James Lee Burke : c’est toujours aussi bon!