Les chasseurs de gargouilles, John Freeman Gill.
Traduit de l’anglais par Anne-Sylvie Homassel.
Editions Belfond
« New York remet les gens à leur place. Cette ville est plus vaste que toutes les autres ; elle a plus d’importance que toutes les autres. «
Dans le New-Yord des années 70, coincés entre des parents fantasques qui divorcent sans trop se soucier de lui, un jeune garçon tente de maintenir les liens familiaux. Les locataires de sa mère empiètent sur son appartement, sa sœur adolescente s’émancipe à l’extérieur … il va finalement décider d’accompagner son père dans des sorties nocturnes pour récupérer moulures, bas-reliefs ou gargouilles des immeubles de Manhattan. C’est le début d’une plongée dans la ville et dans les obsessions paternelles…
Eh ben, en voilà un pavé qui m’aura laissée de marbre. Je ne suis pas assez passionnée par New-York pour profiter des descriptions interminables, je suis trop exigeante pour m’accomoder de personnages brossés à la va-vite et je me suis avérée totalement imperméable à l’humour un peu daté de ce roman.
J’ai terminé ces 400 pages car ce livre m’avait été offert mais je suis perplexe.