Ma mère était une très belle femme, Karlien de Villiers.

Le récit autobiographique d’une enfance au sein de la classe moyenne blanche en Afrique du Sud dans les années 70 entre chute de l’apartheid et déchirures familiales.
La petite histoire et la grande Histoire se mêlent de façon subtile et adroite dans cette bd.

C’est avant tout le récit d’une thérapie, un exorcisme personnel au coeur duquel apparaît ponctuellement la violence de la ségrégation et du terrorisme – comme un contexte inconscient qui surgit dans les détails avec beaucoup de justesse.