PS : Tu me manques, Brigid Kemmerer.
Traduit de l’anglais par Alice Delabre.
« Je relis la lettre. La douleur irradie de chaque mot. Le genre de douleur qui vous pousse à écrire à quelqu’un qui ne vous lira jamais. Le genre de douleur qui vous coupe du monde. Le genre de douleur qu’on est persuadé d’être le seul à ressentir, le seul de toute l’histoire de l’humanité.«
La mère de Juliet est morte. Juliet continue à lui écrire et dépose ses lettres sur sa tombe. Declan, condamné à réaliser des travaux d’intérêt général en entretenant les pelouses du cimetière, trouve un jour une de ces lettres et décide sur un coup de tête d’y répondre.
Commence alors une correspondance entre les deux adolescents qui, grâce à l’anonymat, vont plonger sans retenue dans des échanges intimes et profonds autour des questions de la mort, de la culpabilité, des liens familiaux et du courage d’être soi.
Un livre prenant, qui se défait peu à peu des clichés et pousse à réfléchir plus loin tout en cochant toute les bonnes cases du roman d’amitié/amour…
Merci @Lucile.caron_boyer pour cette super idée de lecture adolescente sincère et émouvante !