Ressac, Diglee.

Ressac

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« Ce qui sort de moi hélas – ou heureusement -, ne dit pas tout : écrire n’est pas vivre, et mes mots ne sont pas le réel. Au fond, c’est une quête perdue d’avance. Ecrire appartient au silence, au vide, aux astres.« 

L’auteure décide de passer quelques jours en Bretagne dans une abbaye pour s’extraire du monde, faire le vide, s’apaiser. Entre angoisses familiales, doute amoureux et overdose de réseaux sociaux, il est urgent pour elle de retrouver de l’espace intérieur comme extérieur.
Cette semaine à part lui fera rencontrer des femmes singulières et revenir à elle-même.

Si j’ai apprécié la sincérité évidente de ce texte, je n’en ai pas été émue. Je pense comprendre l’expérience ou les émotions éprouvées par l’auteure mais ce n’est pas suffisant pour moi.
L’écriture ne m’a pas touchée, je l’ai trouvée sans texture particulière et j’ai fini ce livre sans qu’il ne laisse sa marque en moi.
Après les multiples avis positifs autour de moi, je reste donc un peu perplexe.