Étiquette : litterature americaine

Le mois américain

#lemoisamericain est clairement fait pour moi… tout au long de l’année 😊 Cette excellente initiative lancée par @plaisirsacultiver et @melanielesauxglaymann nous propose de lire des auteurs américains ou des livres se passant aux Etats-Unis durant tout le mois de Septembre (et pourquoi pas, soyons fous, de parler de cinéma – série – musique – nourriture américaine). Un programme avec des […]

Un mariage américain, Tayari Jones

Traduit de l’anglais par Karine Lalechère. « Malgré tout, quand on parle de chez soi, on ne pense pas à l’endroit où on a atterri. On pense à l’endroit d’où on a décollé. On ne choisit pas plus d’où on vient qu’on ne choisit sa famille. Au poker, on reçoit cinq cartes. Il y en a […]

Eat, pray, love, Elisabeth Gilbert

« Deep grief sometimes is almost like a specific location, a coordinate on a map of time. When you are standing in that forest of sorrow, you cannot imagine that you could ever find your way to a better place. But if someone can assure you that they themselves have stood in that same place, and […]

La poésie de Jim Harrison

Un #lundipoésie américain avec Jim Harrison, un auteur dont j’ai beaucoup aimé les romans et la légende personnelle mais dont j’ai découvert la poésie très tardivement…Des textes d’inspiration zen mais toujours avec le franc parler terrien de l’ecrivain américain. Je partage avec vous le poème 42 du recueil L’éclipse de lune à Davenport dans cette belle édition […]

La séquestrée, Charlotte Perkins Gilman.

Traduit de l’anglais par Diane de Margerie. « Si un médecin de haut niveau, votre propre mari qui plus est, se porte garant auprès des amis et des membres de la famille que vous n’avez rien – tout juste une simple dépression passagère, un léger penchant à l’hystérie – que peut-on faire ?«  Une jeune accouchée […]

A widow’s story, Joyce Carol Oates.

« For the widow inhabits a tale not of her own telling.”   JCO aura vécu plus de 40 ans auprès de son mari. Une vie commune fondée sur des centres d’intérêt partagés, de grandes discussions, des amitiés mêlées et les gestes domestiques du quotidiens.  Lorsqu’il meurt soudainement à 77 ans d’une complication liée à une hospitalisation, l’auteure est éperdue de peine et perd […]

L’apprenti assassin (L’assassin royal 1), Robin Hobb.

// EN VACANCES // Traduit de l’anglais par A. Mousnier-Lempré. « Est-il dans la nature du monde que toute chose aspire à un rythme, et dans ce rythme à une sorte de paix ? C’est en tout cas ce qu’il m’a toujours semblé. Tous les événements, aussi cataclysmiques ou bizarres soient-ils, se diluent au bout de […]

La physique des catastrophes, Marisha Pessl.

// EN VACANCES // Traduit de l’anglais par Lætitia Devaux. « Mais surtout, surtout ma chérie, n’essaie jamais de modifier la structure narrative d’une histoire autre que la tienne, ce que tu seras sans doute tentée de faire, à l’école ou dans la vie, à la vue de ces pauvres hères qui prennent bêtement des tangentes […]

La chute des princes, Robert Goodrick

Traduit de l’américain par Marie de Prémonville.  « Quand vous craquez une allumette, la première nanoseconde elle s’enflamme avec une puissance qu’elle ne retrouvera jamais. Un éclat instantané, fulgurant. L’incandescence originelle. En 1980, j’ai été l’allumette. Cette année-là, je me suis embrasé pour n’être plus qu’une flamme aveuglante. »  Dans le New-York des années 80 les golden boys – […]