Mrs Palfrey s’installe à l’hôtel Claremont sorte de pension qui ne dit pas son nom pour des personnes âgées encore vaillantes quoique esseulées. Elle y découvre une galerie de locataires plus ou moins égarés dont quasiment toute l’énergie est dépensée à maintenir l’illusion de leur vitalité
Cath est photographe et disquaire à temps partiel. Elle travaille sur une série de photos de lieux de crime, observe leur opacité et leur platitude déstabilisantes, persuadée que sous la surface anodine du monde se cachent parfois des mystères insondables.
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Faber & Faber “You are comprised of a million tiny locks. There’s no master key to be found, encased in the plush velvet heart, no matter how desperately you ask someone to reach in and grope around. No matter how hard you try to find it.” Dans les années soixante en Italie, un vieux peintre […]
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“Sometimes he had the feeling that he existed only on the fringes of other people’s lives, not at the heart of his own.” Voici, onze récits qui mêlent l’étrange et le tout à fait familier, se répondent et nous interrogent. Une reine de conte fait une promesse très dangereuse, le monde contemporain se met régulièrement […]
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Experte des loups et responsable d’un programme d’ampleur aux Etats-Unis, Sarah accepte de rentrer en Ecosse pour aider un riche propriétaire
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Un court texte publié en 1877 pour pointer du doigt la frénésie et la vacuité des dérives d’une société industrielle où tout tend vers l’efficacité, l’utilité et la performance.
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Traduit de l’anglais par Jean Quéval.Editions Folio. « Dehors, les yeux des animaux allaient du cochon à l’homme et de l’homme au cochon, et de nouveau du cochon à l’homme ; mais déjà il était impossible de distinguer l’un de l’autre.«
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Traduit de l’anglais par Benjamin Kuntzer.Editions J’ai Lu. « – Et les mots, ma marcheuse… les mots sont tout. Les mots donnent des ailes même à ceux qui ont été piétiné, brisés par-delà tout espoir de rétablissement. »
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Traduit de l’anglais par Jean Guiloineau.Editions Bourgois.
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Traduit de l’anglais par Sarah Tardy.Editions 10/18 « Lucrèce observe le portrait ; elle le regarde fixement ; elle ne peut en détacher ses yeux. Il est à la fois un étalage brûlant et quelque chose de profondément intime. Il affiche son corps, son visage, ses mains, la masse de ses cheveux autrefois longs qui ondulent […]
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