The monsters of Templeton, Lauren Groff.

The monsters of Templeton

@penguinbooks

« As I touched the beast I remembered how, even on that long-ago night, I could feel a tremendous thing moving in the depths below me, something vast and white and singing.« 

Etudiante un peu égarée, Willie revient au bercail maternel enceinte de son directeur de thèse. Au même moment le cadavre d’une créature inconnue et gigantesque apparaît flottant au milieu du lac de la ville. C’est dans une atmosphère de trouble et de mystères que la jeune femme va renouer avec son histoire familiale et celle du village.

J’ai adoré cette lecture ! Je poursuis ma découverte de cette autrice entamée avec Matrix (et j’ai déjà poursuivi avec son recueil de nouvelles Florida que je n’ai pas encore pris le temps de chroniquer). Je continue mes lectures en anglais et je suis à nouveau sous le charme de son habileté à construire des atmosphères singulières tout en déroulant des histoires qui me happent.
Ici, à nouveau, des personnages de femmes avec de l’épaisseur, différentes dimensions de lectures, un lieu qui gagne en densité au fil des chapitres et un côté « page-turner » assumé que j’ai beaucoup aimé !
Je n’oublierai pas de sitôt Templeton et son monstre lumineux.
(Vous pouvez lire ce roman en français, dans la traduction de Carine Chichereau en poche chez 10/18).