Brasier Noir, Greg Iles.
Traduit de l’anglais par @aurelie_tronchet_gestalt
« Il disait que pardonner à quelqu’un ne veut pas dire…que cette personne ne doit pas…payer pour ce qu’elle a fait. Mais ça regarde Dieu, disait-il. Haïr quelqu’un ne fait que t’empoisonner, pas la personne en question.«
Le jeune maire blanc de Natchez, Mississipi, apprend un beau jour que son père – médecin réputé pour sa droiture – est accusé du meurtre de l’infirmière noire avec laquelle il travaillait dans les années 60. Il comprend peu à peu, malgré le silence obstiné de son père, que l’origine de ce drame et de ces accusations sont liés à un groupuscule raciste ultra-violent dérivé du Klu Klux Klan. Accompagné de sa fiancée, journaliste énergique, il va se battre pour mettre au jour de sombres secrets qui rongent toujours sa ville et menacent maintenant sa famille.
Un polar dingue : politique, trouble et survolté en plus de mille pages ! J’ai été embarquée dès les premières lignes par ce mélange réussi. Cette lecture m’aura autant passionnée qu’épuisée…
J’ai lu énormément d’excellent retours sur ce polar. Je serais bien tenté, mais je dois avouer que son nombre de pages m’effraie. Déjà que je ne lis pas beaucoup de polars, il ne faudrait pas que je me rate avec celui-là et que j’en ressorte écœuré….
Si tu ne lis pas beaucoup de polar ou de roman noir je ne suis pas sûre que cela le meilleur choix pour te lancer… c’est vraiment fleuve et il faut de l’endurance 😉
Qu’est-ce que tu as comme bons souvenirs de lecture de polar ? Histoire que je vois si j’ai une idée de lecture à te conseiller. 🙂
Bonne journée !
En fait, à part les « whudunnit », j’aime les polars qui ne tournent pas exclusivement sur l’enquête et s’intéressent à la psychologie des personnages, et à l’aspect socio-culturel de l’intrigue.