Traduit de l’américain par Frank Reichert. « Dans l’armée, avait-il fini par comprendre, la seule chose que vous possédez en propre, c’est l’espace qu’occupe votre corps. C’est là tout ce qu’ils vous laissent vous approprier, et il n’y a nulle part ailleurs où aller.« Un récit fait de va-et-vient qui donne à voir comment Hanson, jeune […]
Un #lundipoesie rêveur pour continuer le week-end dans sa tête… Les Cent phrases pour un éventail de Paul Claudel : une série de haïkus délicats ou moqueurs que j’aime tout particulièrement. Deux haïkus pour commencer la semaine avec sérénité. « L’automne aussiEst une choseQuiCommence. « « Chut!Si nousFaisons du bruitLe tempsVa recommencer.«
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C’est mercredi, c’est #mercredicadavreexquis mais aussi … la journée des riquiquis !Du coup, et toujours sur une idée de @edlatableronde , je me suis lancée dans un petit mot pour un enfant avec uniquement des titres d’album jeunesse! – Parfois je me sens un peu perdu avant d’aller dormir…– Ne pleure pas Zagazou, bonne nuit ! Avec l’aide bienveillante […]
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« When I talk about white privilege, I don’t mean that white people have it easy, that they’ve never struggled, or that they’ve never lived in poverty. But white privilege is the fact that if you’re white, your race will almost certainly positively impact your life’s trajectory in some way. And you probably won’t even notice […]
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C’est #lundipoesie! Pour bien commencer la semaine, un extrait de poème en forme de Memento Mori qui nous encourage à profiter du moment qui passe.Il s’agit du poème Beggars and Kings extrait du recueil Writings To an Unfinished Accompaniment du poète américain William S. Merwin. Le tout est traduit par Christophe Wall-Romana dans la belle édition […]
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Traduit de l’américain par Christophe Mercier. « Il est 1 heure du matin, et j’entends le vent dans les chênes et les pacaniers. Les volets à lattes de notre maison sont crochetés, et vibrent légèrement contre les chambranles. Le seul signe d’un dérèglement du temps est le tremblement d’un éclair dans les nuages, ou une soudaine […]
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Traduit de l’Américain par Georges Renard. « Il y avait aussi quelque chose d’étrange dans son aspect, quelque chose que je ne savais pas trop comment exprimer parce que son visage était comme un labyrinthe parfait qui, pour l’instant, me détournait de quelque chose.« Le héros de ce livre est un bibliothécaire d’un genre particulier : […]
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Traduit du Russe par Lucia et Jean Cathala. « Dans les camps, que de fois Choukhov s’était rappelé comme on mangeait, dans le temps, à la campagne : des pommes de terre à pleines poêles, la kacha à même la marmite, et, encore plus avant, avant les kolkhozes, de la viande, par tranches entières, et quelles […]
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Un court #mercredicadavreexquis façon roman noir américain des années 50. On entendrait presque Humphrey dire cette réplique sous son borsalino… « Faillir être flingué un soir au club, ça n’arrive qu’aux vivants ! Adieu, ma jolie…. » Avec l’aide opportune de #célineminard #christiangailly #jameshadleychase et #raymondchandlerMerci @edlatableronde pour cette idée dont je ne me lasse pas !
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Traduit de l’américain par Sylvie Schneiter. « Ce type dans l’abribus de Laguna Honda qui voulait du Valium, en fait c’était son optimisme excessif qui m’avait inquiétée, son insistance à écrire son numéro de téléphone sur un mur avec le talon de sa chaussure. Il avait tellement besoin de sa drogue qu’il était prêt à dealer […]
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