Les optimistes meurent en premier, Susin Nielsen.
Traduit de l’anglais par Valérie Le Plouhinec.
Helium Editions
La petite sœur de Petula de Wilde est morte. Ses parents sont bouleversés et, de son côté, elle a développé de nombreuses phobies. Inscrite à un cours d’art thérapie, elle va rencontrer « l’homme bionique » : un garçon de son âge avec une prothèse de bras et passionné de cinéma.
J’ai à nouveau beaucoup aimé ce bouquin et sa manière frontale et sans façon d’aborder des thématiques graves comme la culpabilité ou le deuil.
J’ai un peu moins accroché à son côté romance qui, quoique sympathique, m’a semblée plus convenu.
J’ai adoré retrouver par ci par là les personnages d’autres romans de l’auteure.