Lumière d’été, puis vient la nuit, Jón Kalman Stefánsson.
Traduit de l’islandais par Eric Boury.
@editionsfolio
« Certains affirment cependant que toute existence est en premier lieu mentale, ce qui signifie que ce que vous avez dans la tête existe fatalement. Si nous creusons un peu cette idée, elle implique que toutes les créations qui sont engendrées ici font partie intégrante du réel, a-t-il expliqué en se frappant la tête de son index. »
Les drames, les joies, le quotidien et le singulier d’un petit village islandais. On s’aime, on se déteste, on s’observe, on travaille, on parlotte, on fait la fête, on songe, on fait des choix … comme partout ailleurs en somme mais sans doute sous une lumière un peu différente.
Je suis très dubitative concernant cette lecture.
C’était parfois agréable, parfois très ennuyeux. Je crois que les romans qui n’ont aucune raison de commencer ni de finir m’agacent un peu en ce moment.
J’ai apprécié la façon dont l’auteur fait exister ses personnages mais je trouve qu’il manque quelque chose pour « arrimer » le texte.