Étiquette : littérature islandaise

Lumière d’été, puis vient la nuit, Jón Kalman Stefánsson.

Traduit de l’islandais par Eric Boury.@editionsfolio « Certains affirment cependant que toute existence est en premier lieu mentale, ce qui signifie que ce que vous avez dans la tête existe fatalement. Si nous creusons un peu cette idée, elle implique que toutes les créations qui sont engendrées ici font partie intégrante du réel, a-t-il expliqué en […]

Miss Islande, Auđur Ava Ólafsdóttir.

Traduit de l’islandais par Eric Boury.Editions Zulma « Je me livre à un exercice de calcul mental. Si je travaille neuf heures et que je dors sept heures, il m’en restera chaque jour huit heures pour lire et écrire. Si j’ai envie d’écrire la nuit, personne ne m’en empêchera. Personne non plus ne m’y encouragera.«  Dans […]

L’embellie, Audur Ava Ólafsdóttir.

Traduit de l’islandais par Catherine Eyjólfsson.Editions Zulma « Et tout à coup, alors que je traverse encore un nuage bas qui descend jusqu’à la lave brûlée, l’idée m’effleure que je me trouve à égale distance du début et de la fin et je ne peux me figurer sur le moment s’il faut mesurer cette distance en […]

L’art de la vie (Karitas livre 2), Kristin Marja Baldursdóttir.

// VACANCES// Traduit de l’islandais par Henrý Kiljan Albansson.Editions Point « En tous les esclaves se cache la haine, disait-elle. À cause de leur condition et de leur oppression séculaires, les femmes sont sensibles aux côtés d’ombre du pouvoir elles n’osent pas laisser leur haine se diriger vers les hommes, font plutôt retomber celle-ci sur les […]

Karitas, l’esquisse d’un rêve, Kristín Marja Baldursdóttir.

Traduit de l’islandais par Henrý Kiljan Albansson.  » Comme il y a du mouvement en moi. Une petite braise qui attend qu’on l’enflamme. Ce ne sont pas les grands événements qui changent le monde, mais les petites choses de tous les jours et les mots non-dits. Je peins jusqu’au matin termine le tableau. Je l’avais […]