Poésie en flamme
Parfois, il faut que le #lundipoésie transporte les mots toujours pleins de flamme d’Alejandra Pizarnik.
Je pioche alors dans le recueil « Œuvres » publié @ypsilonediteur et traduit par Jacques Ancet, comme on pioche la carte d’un oracle, comme on lit des signes dans les nuages ou les herbes folles.
Ce matin, le recueil s’est ouvert à la page 139 sur le poème « Te nommer ».
« Non pas le poème de ton absence
rien qu’un dessin, une fissure dans un mur,
dans le vent quelque chose, une saveur amère. »